Je n'ai pas encore trouver de sort pour arrêter le temps? En fait je ne pense même pas que se genre de sort existe. Il y a un objet qui remonte un peu le temps, mais c'est tout. Et puis avouons le, jouer avec le temps peuvent avoir de grave conséquence. Je voulais bien être qualifié comme fou malgré ma contradiction mais il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin non plus.

Toujours l'un contre l'autre mon cerveau lui commence peu à peu à s'éteindre. Un peu comme une maladie, mais maintenant que j'ai donné un nom à cette maladie je m'en fou. Willow commence les heures d'au revoir, bien heureusement pour moi et ma santé mental ce n'était pas un adieu. Je refuserais de toute façon les adieu, par n'importe quel moyen même les plus folle. Quoi? Parce qu'en plus de ça ce que je dit ne vous étonne même plus?

« Quand tu voudras, écrit moi à l'auberge des Trois Balais et j'irais te rejoindre où que tu sois. »

Oui, c'est l'auberge des Trois balais est mon récepteur de courrier, parce que j'y passe le plus clair de mon temps comparé à mon propre logement. Allé savoir pourquoi, moi même j'en ignore complètement la raison. M'y sent bien c'est tout mon père y était souvent .

« Ou on peut seulement s'écrire aussi se sera comme tu préfère. »

Willow faisait de gros efforts pour quitter ses bras, mais ce n'était pas sans enchaîner les baisers, même entre mots. Elle avait hâte, vraiment hâte de le revoir, malheureusement ce ne serait pas pour tout de suite. Heureusement, Edgar lui donnait un moyen de le retrouver, et même un moyen plutôt simple. En attendant, la situation était trop malsaine pour qu'elle se sente parfaitement à son aise dans de telles conditions.

Willow avait maintenant un grand sourire.

"Je t'écrirai Edgar ... Promis ... Et son se reverra ... "

Un dernier baiser, et la belle disparu ....