Nous voilà dans de putain de beau draps, je crois qu'on n'a pas pu avoir pire comme situation. Willow torturé et qui subi le sort de l'oubliette dans que je puisse faire grand chose à cause de Lestrange. La colère m'a fait agir sous la pulsion et voilà la résultat. La femme que j'aime inconsciente dans mes bras et moi blessé et fatigué par le fait que j'ai du transplaner après m'en être pris plein la gueule pour la sauver.

C'est donc dans un grand BOUUUUM et une bonne grosse toux que j'atterie chez moi pour poser délicatement la belle sur le lit pour ensuite me précipiter vers la pharmacie pour utiliser la potion de Dumbledor sur les coupures à guérir (les petites coupures se n'est pas utile se serai du gaspillage) ainsi que des potions pour les sorts que j'ai moi même reçu. Qu'est-ce que je ne serais pas sans ces potions et trousse de secours de ma sœur Amélia que j'ai tendance à beaucoup oublié avec ce qui se passe.

Je retourne très vite auprès de Willow et vérifie qu'elle respire et que son pou est stable. Dieu merci ça à l'ai d'aller parce que le pire dans tout ça c'est que par le simple fait qu'elle est recherché je ne peux pas l'emmener à l'hôpital, va falloir que je me débrouille seul. Je me dirige alors vers la bibliothèque en quête d'un livre qui pourrait m'aider. Une fois à l'intérieur je me stop net, chuis pas seul. Oui bon de base je ne l'étais pas!! Sa je sais JE NE SUIS PAS DÉBILE NON PLUS!!! ET NON JE N'AI PAS REÇU UN SORT D'OUBLIETTE AUSSI!!! Bande de … De chose pas cool.

« Euh... »

Sourcils froncé je regarde autour de moi perplex et secoue la tête pour me reprendre les esprits, je verrais ça plus tard la pour le moment il faut que je m'occupe de Willow et vite! Devant la pile de livre laissant mon doigt glisser sur les couvertures je cherche un livre sur les soins même si je reste perturbé par cette présence que je ressent depuis que je suis entré.

Bien entendu mes doutes sont fondé, MES DOUTES SONT TOUJOURS FONDE BANDE DE... euh.... BANDE DE GENS QUI ME SOUS ESTIME! L'insulte de fou... Il faut que je me calme moi, que je garde mon sang froid et que je reprenne tout en mains. Rien n'a été prévu, j'ai sauté dans la gueule du loup pour la sauver sans réfléchir à rien. J'ai même frapper à mains nu plutôt que de lancer un sort. Je me stop net quand j'entends une voie et fronce les sourcils. Je suis devenu fou ou bien?

BIEN HEUREUSEMENT POUR MOI, il s'agit d'un simple fantôme perché au dessus de ma bibliothèque. Je plisse les yeux et trouve que aussi étrange que ça puisse paraître ce mec ressemble à Merlin. Si ça se trouve c'est lui, mais qu'est-ce qu'il fou la? Pourquoi il est chez moi celui-la? Je prend la parole après mettre pris le reproche que je le regarderais bizarrement, pourtant je le regarde comme tout être vivant. Les fantômes ça avaient toujours exister, il y avait qu'a voir à Poudlard. Le livre en mains je me met à rire doucement tout en me dirigeant vers la sortie.

« Non sans blague et je suis en train de faire quoi la d'après toi? De me faire des crêpes? »

Feuillant d'un air étonnamment rapide je me dirige vers la chambre tout en lisant pour savoir comment agir au mieux pour que ma protégée aille mieux. Je pose le bouquin sur mon bureau lis encore pendant quelque secondes et attrape une fiole que j'avais déjà utiliser lorsque je me suis pris un Doloris et ajoute un petit plus parle fait qu'elle est inconsciente, je lui fait boire le contenue en espérant que ça soulagera au plus vite la douleur, je lui applique enfin la potion du directeur sur ces blessures et pose ma main sur son front les lèvres pincé.

Après avoir guérie Willow au mieux et couverte je me tourne vers le fantôme avec mille question. Le visage de celle que j'aime à l'air apaisé et moins pale, tout ce que je pouvais faire c'était la couvrir rester auprès d'elle et attendre qu'elle se réveille. Je redoute un peu son réveille d'ailleurs... Elle ne saura plus qui je suis avec le sort de l'oubliette... Ces deux mangemorts je peux vous juré qu'il payeront très chère pour ce qu'ils ont fait. Je vais niquer leur race, parole de Bones.

« C'est rare qu'un fantôme décider de squatter chez quelqu'un j'ai jamais vu ça. Pourquoi t'es ici? Fantôme de Merlin. »

Merci les chocogrenouilles.

Bien trop concentré à vite soigner Willow je n'ai pas du tout mais alors pas du tout fait attention au dire du fantôme Merlin qui à l'air pour le coup de drôlement s'ennuyer. Non mais sérieusement pourquoi il a décider de venir ici? Heureusement que ça ne m'a pas déconcentrer pour soigner ma petite amie. Faut dire pour le coup j'étais coupé du monde, j'ai absolument rien entendue de ce qu'il a dit sauf la phrase qui me rassure le plus. Celui du fait qu'elle a l'air de dormir, qu'elle a l'air d'aller mieux en gros.

Mais on dirait bien que c'était bien mal partie pour que je me repose à mon tour. La curiosité à laaaaaaaaaaaaaaaaaargeeeeeeeeeeeeeement remporter sur la raison. Je décide de taper la causette avec le fantôme et apparemment j'ai bien fait! Parce que non seulement c'est belle et bien le fantôme de Merlin mais en plus de ça.... C'EST MON ARRIERE   ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE   ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE  ARRIERE oui bon non j'en ai marre d'écrire le mot arrière mais en gros... Je suis un descendant de Merlin?! Il est sérieux le fantôme la?

« Hein? »

Je fixe avec les yeux rond mon ancêtre. Oui parce que je me doute bien que Merlin c'est pas mon grand père mais mon arrière arrière arrière arrière arrière arrière... Oh et puis merde vous m'avez compris.  

« C'est sérieux ou c'est une blague d'Hallowen? »

En voyant sont air vexé ça m'a tout l'air d'être sérieux.

« Ouais bon je savais pas désolée, faut dire la famille et l'étude des ancêtres n'a jamais été vraiment le sujet principal de leur discutions... Même les autres sorciers n'ont pas l'air de savoir que les Bones sont les descendant de Merlin c'est pour te dire! »

Un gros blanc s'installe et j'hausse les sourcils me surprenant moi même.

« Et moi bah je l'apprends que maintenant par mon propre ancêtre... La classe. »

Je fixe Merlin sans savoir quoi dire d'autre les mains dans les poches le regardant de haut en bas d'un air curieux. C'est fou c'est comme sur la carte chocogrenouille.

L'est drôle mon ancêtre j'adore! Et moi qui pensais que Merlin il serait genre un peu comme Dumbledore! Bah non pas du tout je le regarde de haut en bas amusé, non sérieux ça fait du bien de rire un petit coup après un moment pareil... Les saleté de mage noir on effacé la mémoire de Willow, et dans son réveille je ne sais même pas comment je vais m'y prendre quoi lui dire et me retenir de la prendre dans mes bras.

Ma mine s'assombrit de nouveau quand Merlin retourne sur le sujet de celle que j'aime. Je pince les lèvres et soupir par le nez (oui oui c'est possible) un peu comme si pour le coup je me sentais impuissant. Les doigts croisé entre elle restant assis sur le lit près d'elle je refais un bruit bizarre avec ma bouche dont moi seul ait le secret avant de lui répondre.

« Nan... Chuis pas infirmière ou medicomage... Franchement y'a pas mal de truc à expliquer pour expliquer la situation... Euh... Ouais ok. Donc du coup bah je vais essayé de faire court... J'peux pas parce qu'elle a fait partie de ces taré de mage noire... et c'est une cracmole... Après je sais pas pourquoi ils lui ont fait ça, par le fait qu'elle a décider de ne plus service monsieur chauve sans doute. Elle s'est prise deux Doloris et le sort de l'oubliette... C'est ma petite amie... Enfin c'était... Ouais non j'en sais trop rien. »

Je tourne ma tête dans tout les sens comme pour me faire chasser les idées noir de mon crâne.

« Ouais bon en gros on est dans la merde... Le ministère la chercher on l'accuse d'un meurtre qu'elle n'a pas commis. Et même si j'arrive à prouver ça elle sera prise comme complice. »

Je regarde le fantôme et lui demande en haussant un sourcils histoire d'avoir la classe.

« C'était autant la merde à ton époque à toi? »

Avec l'impression qu'on m'avait gazé la tronche, j'ouvrais les yeux sur une espèce de forme argentée, je les fermai aussitôt parce que la lumière me faisait mal. Enfin, il n'y avait pas que la lumière, tout mon corps n'était que douleur, comme si on avait remplacé mes os par ... Je ne savais pas en fait. Mais j'avais l'impression de me disloquer au moindre mouvement, que ma tête allait éclater et que j'allais rendre tout ce que j'avais mangé depuis les 10 dernières années ... Glamour n'est-ce pas ?

Je gardai les yeux fermés et écoutait la conversation entre l'homme qui m'avait apparemment sauvée, et l'ectoplasme. J'appris ainsi que :

1/ J'avais fait partie de la même ... association ? Que mes assaillants. Ce qui, à mes yeux, n'avait pas de sens.

2/ On m'avait jeté un sortilège pour m'effacer la mémoire. Ok, fallait pas être un génie pour le deviner, mais ça me montrait qu'au moins, je n'étais pas folle.

3/ J'étais recherchée pour complicité de meurtre.

4/ Edgar Bones n'était pas une infirmière ( )

Le temps de digérer tout ça, de recoller les morceaux et d'essayer de faire passer la sensation de nausée qui persistait sans que je ne sache pourquoi, et je décidais de me manifester en émergeant doucement la tête de mon oreiller. J'avais l'impression d'avoir une énorme migraine, mais finalement c'était beaucoup moins douloureux de bouger que ce que j'aurais cru. Je m'assied sur le bord du lit et posait les deux pieds par terre, les mais sous les fesses et la tête rentrée dans les épaules face à mon sauveur que je n'osais pas regarder dans les yeux.
Celui qui avait dit quelques minutes plus tôt que j'étais sa petite amie, ou plutôt que je l'avais été ... ah, c'était franchement bizarre comme situation ! Et j'étais tellement désolée pour lui.

"Je ... j'ai un vague souvenir de ... de bagarre ..."

Même ça, c'était en encore assez flou. Je tendis mon bras et vit dessus un tatouage, noir, représentant une tête de mort avec un serpent en guise de langue. C'était franchement laid ... Comment je pouvais avoir ça ? Je fronçais les sourcils. Je me concentrais pour essayer de me souvenir de quelques choses ... ne serait-ce que mon prénom ! Mon âge ... je ne sais pas moi ? Mon métier ? Le nom de celui avec qui, apparemment je vivais ? Et surtout la raison pour laquelle on s'était retrouvé dans cette situation ? Je n'y comprenais rien.

Nerveuse, je me levais et arpentait la pièce en quête de quelques effets personnels qui me mettraient sur la voie. Une photo ? Un cahier comme une sorte de journal intime ? Ou même ... des vêtements ? Il n'y avait rien. Rien qui indique que j'ai pu habiter ici ... Enfin je me retournais vers mon petit ami ... ex ... ? Et osais le regarder dans les yeux. Je ne me souvenais pas non plus de son prénom, j'avais juste entendu un des types l'appeler "Bones" ...

"Ecoute heu ... Je ... Je suis désolée ... Je ne me rappelle même pas comment je m'appelle ... mais ... T'as dit que j'étais complice d'un meurtre ... Bon sang ... j'ai envie de gerber ..."

Je comprenais mieux pourquoi d'ailleurs, si j'avais vraiment aidé à tuer quelqu'un, y avait bien de quoi être malade. Un signe de sa part m'indiqua où se trouvaient les lieux d'aisances, et j'y couru en quatrième vitesse pour réapparaître, quelques minutes plus tard, livide.

"Désolée aussi pour ça ... Si j'ai fait un truc comme ça, je me dégoûte et je me demande franchement pourquoi tu m'as protégée ... Je ... y a pleins de trucs que je pige pas. Pour commencer ... Comment je m'appelle ?"

Ouais bon quand j'ai demandé à Merlin si c'était autant la merde à son époque à lui bah j'aurais dû me taire et me souvenir de mes cours d'histoire. J’avais complètement zappée que le monde des sorciers n’ont en fait jamais connue de vie tranquille. C’est seulement en écoutant mon ancêtre que je m’en rends compte. C’est pitoyable hein ? C’est la honte même pour quelqu’un qui a toujours voulut protéger tout le monde. Enfin presque tout le monde, le chauve lui et les deux zigotos ils iront se faire voir.

Plongé soudainement dans la réflexion par les dires ne notre bon et chère Merlin, monsieur fantôme de mon ancêtre me coupe dans mon élan en parlant de Willow, comme quoi elle avait de beaux yeux et qu’on ferait de beau enfant. Ouais il n’a pas trop tort, mais encore faudrait-il que ce soit possible. Maintenant qu’elle a tout oublié… C’est comme si je l’avais perdu à jamais, parce que je n’ai pas la certitude que les sentiments son resté, vu qu’elle a maintenant oublié notre rencontre et la raison qui a fait qu’elle a accepté d’être à mes côtés.

Mais attends… Comment ça se fait qu’il ait vu la couleur des yeux de Willow ?! Elle n’est pas censée avoir les yeux clos ?! Alors que Merlin disparait sans que je puisse lui dire quoi que ce soit, je me tourne vers la jeune blessé le regard inquiet et la regarde sans bouger ne trouvant pas les mots à cette situation plus est plus que délicate. Assise sur le lit je la regarde d’un air désolée en constant à l’expression de son visage qu’elle n’a pas l’air d’aller au mieux. Elle dit se souvenir d’un bagarre mais rien de plus.

Un peu perdue avec moi-même ne sachant absolument pas quoi faire sur le coup je la regarde fixer la marque des ténèbres (ce qui au passage me fait tirer une belle grimace) et commence à réfléchir à quel façon je pourrais lui dire ce qui c’est passé de sorte à ce qu’elle ne prenne pas non plus panique. Ce qui m’a l’air impossible pour le coup, je suis dans une impasse de malade les gens. Et histoire d’accentuer ma boulette attitude vous voulez savoir la meilleur ? C’est elle qui prend la parole et qui en plus de ça s’excuse d’avoir tout oublié. Comme si c’était de sa faute, ce qui me prend plutôt… Comment dire… Mal à l’aise. Je lui indique d’un air absent ou sont les toilettes, quand elle cite son envie de vomir.

Je la regarde de nouveau quand elle sort et s’excuse de nouveau, en temps normal je lui aurait dit d’arrêter de s’excuser qu’il faut arrêter de se dévaloriser, mais la, son amnésie me freine, c’est un peu comme si on reprends depuis le début. J’ose prendre la parole seulement lorsqu’elle me pose une question.

« Tu t’appelles Willow Underwood. »

Je ferme les yeux n’aimant pas cette situation et continue.

« Avant que tu sois dans la merde tu travaillais au ministère… Comme assistante du ministre. Tu es une cracmole mais tu l’avais caché à tout le monde. »

Je finis par fixer le sol.

« Sauf que les deux mangemorts ont l’air  d’être d’un coup au courant…. »

"Willow ... Underwood ..."

Je répétais ce nom qui aurait du être familier à mes oreilles. Mais il ne me disait rien, c'était comme si on venait de me présenter quelqu'un. Enchanté, Miss Underwood ! Moi c'est ... Et bien je ne sais pas ! Je vais devenir folle ! Il aurait pu me dire que je m'appelais ... Je ne sais pas moi ! Molly, ou encore Elisabeth, ça m'aurait fait le même effet. Ma respiration était bruyante, saccadée, car j'étais à deux doigts de céder à la panique. Edgar m'informa alors de ce que j'étais dans mon ancienne vie.

"Cracmole ? Et je le cachais ? Parce que c'est mal ?"

Je me redressais soudain, en proie à une grande fierté. Comment ne pas avoir de pouvoirs magiques pouvait-il être mal ? En oubliant mon passé, j'avais oublié la honte qui m'avait accablé tous les jours de mon existence. Mais aussi les humiliations, et pire encore, la manière dont mes propres parents m'avaient traitée pendant près de dix ans. J'avais oublié toutes ces choses ... Et je me tenais droite pour la première fois de ma vie.

"Parce que je devrais rougir de ne pas avoir de pouvoirs magiques ?"

Je serrais les poings, tremblant de rage.

"Quand on ... Quand on voit ce que vous en faîtes ..."

Mais il y avait cette marque qui siégeait sur mon bras et vers laquelle convergeait toutes mes questions ... Comment avais-je pu prêter allégeance à un homme qui visiblement voulait la perte des Moldus, des gens comme moi ? Ca n'avait aucun sens pour moi. Pourtant, elle témoignait bien là de mes erreurs passées.

"Et ça ... Comment ... Qui ... Quoi ?"

Précise, Willow, t'es trop claire, trop précise là. Et tu t'en prends à la mauvaise personne, surtout. Je fermais les yeux, et respirais profondément avant de me rassoir sur le lit.

"Recommençons depuis le début ... C'est toi qui m'as sauvé. Comment tu t'appelles ? Pourquoi ??? Qu'est-ce que ... Qu'est-ce qu'on est ? Ce fantôme là ... il a dit ... Je ne sais pas ... On est marié ? Fiancés ? Ca fait longtemps ? Et toi aussi tu es ... avec eux ? Et puis ... ?"

Me rendant compte que je ne faisais que parler à tort et à travers, je fini par me taire et serrer mes bras autour de mon corps.

J’assimile chaque réaction  de Willow ainsi que ses réponses qui dans le fond me rend de plus en plus mal à l’aise au vu des réactions de ce qu’elle apprend sur elle. Ça n’avait pas l’air de lui convenir… et franchement ce genre de situation ça te décourage a lui raconter la suite. Maiiiiiiiiis d’un auuuutre cotéééééé, une petite Willo qui est fier de ce qu’elle est…. Ce n’est pas de refus ! Oui mais oh elle a complètement oublié qui tu étais petit scarabée, elle a dut très certainement oublier qui tu étais pour elle et aussi les sentiments. Va falloir tourner la page ! NAN DANS TES RÊVES CONSCIENCE DE MES DEU ! CHUSI UN HOMME MOI UN VRAIS ! UN DUR ! UN VIRIL ! UN ALBUS DUMBLEDORE AVEC 1000 ANS DE MOINS ! JE VAIS LA RECONQUERIR ET…. Euh attend… Albus a vraiment plus de 1000 ans ? Il avait la cote avec les filles au moins ?

Bref, je la laisse parler et poser mille questions auquel je n’ai pour le moment ni le courage ni le temps de répondre je me gratte la nuque sans oser la regarder en face. Un peu comme une petit n’enfant qui n’ose pas regarder une réalité en face. En gros… Hey mais quand ça va moyen chuis un poète moi ! Quoi comment ça s’est pas poétique un n’enfant ? Bah je vous merde ! Je pense ce que je veux d’abord ! Vous lisez peut être mes textes qui ne sont autre que mes pensé ! Mais vous ne contrôlez rien ! Enfin sauf Candy/Paum…. Mais elle est moi, enfin non mais… Oh et puis merde c’est compliquer dites-vous qu’en gros c’est ma secrétaire imaginaire.

Ecoutant au mieux le moulin a parole, enfin non le moulin à question plutôt je tourne enfin le regard vers elle quand elle s’assoit sur le lit pas trop loin de moi demandant de reprendre depuis le début. ET IL A FALLU QU’ELLE ENTAME SUR LE PLUS DUR !! Parler de nous mais attend… je suis censé lui dire quoi…Parce que en plus de ça elle a entendu merlin ? Oh la barbe ! Inquiet je la regarde de haut en bas en prenant un air neutre et sérieux que j’adopte rarement sur mon visage et me retiens de la prendre dans mes bras pour la rassurer. Je vous jure une vraie torture, je souhaite ça à personne. Sauf à monsieur chauve. Mais lui l’a pas l’air être du genre à s’attacher à quelqu’un.

« On…. On n’est pas fiancé non. »

Tien c’est quand même pas con comme idée… EDGAR C’ESTMORT ELE T’A ZAPPER FAUT REPRENDRE DEPUIS LE DEBUT !! OH MEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERDE !

« Je m’appelle Edgar… Edgar Bones, chuis aurore, on s’est rencontré à notre bureau. Et va savoir pourquoi… »

Je grimace et peste un peu, ça parait tellement soudain, romantique et fleur bleue que je doute qu’elle puisse me croire.

« Me crois pas si tu veux mais en gros y’a eu en…. Quelque sorte un putin d’éclair de la mort qui tue qui nous a frappé et a fait que… Bah que on était…. Amoureux. Enfin du moins c’est le cas de mon côté. »

L’amour rend aveugle et c’est à ce moment la que je me rend compte que… C’était réciproque, mais que de dire a une amnésique ce qu’elle était avant bah… C’est dur.

« Tu m’avais clairement dit ton amour aussi et t’avais quitté son ancien petit ami… Du moins c’est ce que tu m’as dit. Puis on sortait ensemble sans trop se faire remarquer… Ce n’est pas super super évident d’expliquer t’a toujours été une fille mystérieuse… et pas très bavarde au début…. »

Ma gorge se serre et m’empêche de parler pendant quelque seconde. Je n’avais pas spécialement envie de pleurer, parce que de nous deux, celui qui prend le plus cher c’est moi. Et moi j’ai remarqué que je pleure que quand il lui arrive des trucs pas cool, comme sa tentative de suiccide.

«  Je t’ai empêcher de te tuer et c’est que la que j’ai réussi à te faire dire ton secret… Celui que t’es cracmole… Puis en mon abscence tu es partie pour une raison que j’ignore, et… Et je suis venue te sauver… Parce que… »

RAAAAAAAAAAAAAAAAH MAIS DIS LE EDGAR DIT LE C’EST LE MOMENT ! TU NE LUI A PAS DIT CE MOT CLAIREMENT QUAND VOUS ETIEZ ENSEMBLE DONC ACCOUCHE ! Euh non…. T’es un homme ouais bon… CRACHE LE MORCEAU.

« Parce que je ne veux pas te perdre. »

Tapette.

J'essayais de comprendre ce qui se passait et surtout qui j'étais. Quand je m'assis près de lui il me dévisagea des pieds à la tête. Mais je ne baissais pas les yeux. C'était la première fois que je ne baissais pas les yeux devant quelqu'un, même lui. Je ne le savais pas encore, mais mon comportement n'était plus du tout le même depuis que j'avais perdu la mémoire. Là, au contraire, je le sondais littéralement, pour essayer d'y déceler la vérité. Car il pouvait très bien me mentir ! Mais quelque-chose me poussait tout de même à avoir confiance en lui ... Je ne savais pas quoi.

Il se mit à parler et la force de sa voix m'apaisa. Mes épaules se relâchèrent et mes doigts se décroisèrent en cessant de se torturer. Je l'écoutais parler de moi. De nous, enfin, plutôt de lui, et de la personne que j'étais avant. Une chose était sûre, je ne l'aimais pas ... Si elle lui avait menti, et si elle avait vraiment été du côté de ce sinistre sorcier alors il avait mieux valu qu'elle perde la mémoire. Mais pire encore, je pressentais que j'avais du faire des choses horribles ... Soudain, l'inconnu de ce qu'avait pu être ma vie me fît peur ... Et je n'osai plus poser une seule question.

J'avais donc quitté quelqu'un pour lui. J'avais tenté de mettre fin à mes jours. J'avais une marque étrange sur le bras. Des sorciers voulaient me tuer. J'avais caché mon identité ... Mais quel genre de personne avais-je pu être ? Mes yeux bleus se perdirent un moment, mon regard se teinta de peur.

Je me perdis quelques instant dans mes pensées, rentrant petit à petit la tête dans mes épaules, un geste que je faisais souvent avant. Mais je revins sur terre, enfin, dans son appartement quand il dit qu'il ne voulait pas me perdre.

Je relevais la tête pour accrocher à nouveau son regard, voyant à quel point il était troublé.

Que ce soit la vérité ou pas, j'étais obligée de m'en remettre à lui je n'avais pas le choix. Et en même temps, je ne voyais pas pourquoi il me mentirait. Il pouvait aussi choisir de ne pas me dire certaines choses.
C'est la peur qui me saisit alors. Je n'étais plus sûre de vouloir savoir, et pourtant ça me semblait indispensable. J'avais l'impression de marcher dans le noir sans ça. Je me doutais qu'Edgar me dirait tout ce que je voudrais savoir, mais je voyais aussi combien il était douloureux pour lui d'en parler. Je serrais les mâchoires, ne lâchant pas son regard.

J'avais besoin de soutien. Et lui avait envie de me serrer dans ses bras. A qui craquerait le premier ? Je ne sais pas si c'est moi qui y était allé, ou si c'est lui qui m'avait serrée contre lui, en tous cas je me raccrochais à lui parce que c'était ma seule bouée de sauvetage. J'enfouis ma tête dans le creux de son épaule et m'y cachais comme si ça pouvait me protéger de tout, et de moi-même.

"Mais quel genre de personne étais-je alors ?" dis-je d'une voix tremblante.

Et comment avait-il pu choisir de s'occuper de moi, se mettre en danger alors que je n'étais clairement pas un modèle de conduite, je ne savais pas. Je devinais qu'il avait du énormément souffrir à cause de moi et je m'en voulu. Je voulais me confondre en excuse et en même temps je n'y pouvais rien, cela n'aurait donc pas de sens. Je ne pouvais que me raccrocher à lui, et puiser ma force. Il fallait ... que je recommence à vivre ! Tout ça m'effrayait. En tous cas je me promis de ne plus lui désobéir, si c'était cela qui m'avait conduit à perdre la mémoire.

Mais est-ce qu'il voudrait toujours de moi, même si nous n'étions plus ce que nous étions ? J'avais beau le croire, quand il me disait que j'avais été amoureuse de lui, et je n'irais même pas jusqu'à dire que mes sentiments étaient partis mais c'était un fait ! Nous ne serions plus jamais ce que nous étions avant, quoi qu'il se passe à partir de maintenant parce que je ne serai plus jamaus celle qu'il avait connu. Il pouvait choisir de ne plus s'occuper de moi et de me laisser, mais dans ce cas je n'avais plus rien, plus personne à qui me raccrocher. Seulement, je ne pouvais pas lui imposer ma détresse.

"Ne me laisse pas ..." lui demandais-je. "Ne me laisse pas ! Je ne m'en sortirai pas sans toi ..."

Je savais que je lui en demandais beaucoup et que ce n'était sans doute pas la première fois. Si j'avais essayé de me tuer, j'avais du traverser des heures encore plus noires que celles la et ce n'était peut-être finalement pas plus mal que je ne m'en souvienne pas.

Le problème maintenant c'était qu'il y avait beaucoup de choses qui étaient refoulées et que ça ne dataient même pas de mon sortilège d'amnésie. Des choses dans mon passé qui avaient anesthésié mon corps tout entier, et ma conscience aussi, des choses que j'avais refoulées bien avant ça. Je commençais seulement à entrevoir l'ampleur de ma tâche quand je laissais ma tête reposer contre lui.

Il y avait une chose que je ne soupçonnais pas du tout et qui me surprendrait bien trop tôt ... C'était que le fruit de notre amour fou et inconditionnel grandissait en moi depuis plusieurs mois déjà. Je ne le savais pas, il était bien caché, comme si mon corps tout entier niait sa présence. Aucun signe, aucun soupçon et pourtant il était là.

"J'ai peur de ce que j'ai pu être et de ce que j'ai fait ... Pourquoi ces gens en avaient après moi ? Et pourquoi est-ce que tu me caches ?"

Je l'avais deviné, il m'avait reproché d'être partie pendant qu'il était absent ...

Bon sang, j’ai beau en dire sans trop en dire, je me rends bien compte que ce que je lui raconte ne lui plaid pas des masses. Pour le coup j’aurais préféré fermer la g… BOUCHE ! FERMER MA BOUCHE POUR PAR RESSEMBLER A CETTE POUF DE KRISTEN JE SAIS PLUS QUOI ?! C’est la fille a qui joue dans un film qui mette en transe des gamines de 12 ans la… Toujours pas ? Bon…. Tant pis. Parce que pour tout dire j’ai jamais eu la curiosité de lire ne serait-ce que le livre ou regarder le film. Rien ne donne envie… Faut dire les moldus ils ne font pas que de bonne ou belle chose.

La voix tremblante ne me disait rien qui vaille en tout cas, les tremblements ça veut dire qu’il y a un truc qui va pas, genre le froid. Euh… elle a froid ? Mais non imbecile ! Elle tremble de peur ! Elle a les jetons ! Elle a les boules ! Tout pour jouer à la pétanque ! Comment ça je suis ENCORE hors sujet ! Mais je vais vous en faire manger moi du hors sujet ! ALLER MANGE MANGE MANGE MANGE MANGE MAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANGE LE HORS SUJET !

Non et puis attendez deux secondes je suis complètement paumé de la vie moi ! Je dois dicter une vie que je ne connais pas à la personne concerné ! Qui en plus de ça prend mal de ce qu’elle apprend sur elle. D’un côté c’est cool, parce qu’elle pourra enfin être elle-même, mais d’un autre coté ça l’est beaucoup moins, parce que maintenant, des regrets, elle risque d’en avoir au moins une centaine au fur et à mesure que sa mémoire sera retrouvé. Enfin, si la mémoire reviendra un jour.

Figé par la situation délicate qui accessoirement m’empêche carrément de faire le con. La suite est venue comme un grand coup de poignard en pleine face. Des tremblements qui s’accentuent, un renfermement sur elle-même. Mais ce qui m’a le plus tuer pour le coup. Non, ce sont ces supplications soudaine, sa demande de ne pas la laisser de ne pas l’abandonné. Ma respiration s’en est coupé, un peu comme si on vient de me priver de mes poumons, le truc du genre, le cerveau qui hurle à mon organisme STOP ON NE BOUGE  PLUS ! ON RESPIRE PLUS ON DIGERE PLUS ! Bah pourquoi chef ? Disent les organes ! Et mon cerveau là il répond encore en gueulant ON VA TENTER D’ARRETER LE TEMPS POUR QUE JE PUISSE REFLECHIR ! Vous voyez le genre ? Non ? Meuh si.

D’autre question s’enchaine alors que mon cerveaux continue sa tentative d’arrêt du temps, ce qui du coup m’empêche de réfléchir comme il le faudrait. Pour dire, c’est seulement après toute ses question je capte qu’elle a posé sa tête sur mon épaule. Son souffle qui me chatouille le coup, je ne comprenais absolument par ce qui se passe, et je ne savais pas trop quoi faire non plus. Hésitant mes bras l’entourent doucement pour la serrer contre moi les yeux rond comme des billes. Et je réponds sans réfléchir bien entendu au conséquence.

« Tu es recherchée par les mangemorts sans doute parce qu’ils te prennent maintenant pour une traitresse pour une raison que j’ignore… Et le ministère te chercher pour un meurtre que tu n’as pas commis. Et je t’enferme chez moi pour te proteger et aussi pour trouver une solution… »

Mais elle s’est barré, bien trop avide de liberté, ça pouvait se comprendre.

« Et j’ai trouvé une solution pour le ministère. »

C’est fou, c’est con à la fois, mais ça marchera.

Je ne comprenais plus rien et je crois que j’avais besoin de quelque-chose à quoi me raccrocher. C’était ce qui m’avait conduit dans ses bras, j’avais les yeux grands ouvert, la mâchoire serrée, et je tenais fermement le tissu de sa chemise. Je ne savais pas pourquoi, je crois que j’agissais surtout sous le coup de l’impulsion. Edgar semblait être en proie à la même tension nerveuse que moi sauf que lui ne respirait carrément plus. Comme je ne me sentais pas mieux, je décidai de m’éloigner de lui avant qu’il ne devienne tout bleu de préférence, tandis qu’il m’expliquait pourquoi il avait dû me cacher.
Si j’étais recherchée par tous les sorciers de ce monde et que je le savais … Qu’est-ce qui m’avait pris et pourquoi j’étais partie ? Etais-je sotte ou un peu suicidaire ? Ou peut-être que mon enfermement avait duré trop longtemps et que j’avais besoin de prendre l’air ? En tous les cas j’avais fait le mauvais choix et vu ce que j’apprenais, ça n’avait pas l’air d’être le premier.

L’auror m’informa alors qu’il avait une solution. Laquelle ? Je relevai la tête vers lui, soudain pleine d’espoir. Si au moins on pouvait me sauver de la moitié des gens qui me recherchaient alors ce ne serait pas si mal … Du moins je le pensais. Seulement, je ne voyais pas ce qui pouvait me blanchir si j’étais bien recherchée pour complicité de meurtre. Soudain je n’étais plus tellement sûre d’avoir envie de fouiller dans mon passé.


« Une solution ? » dis-je d’une voix étranglée.
« Laquelle ? »

Mais avant qu’il ne me l’expose, je pris la parole.

« Je promets … Je promets d’obéir … »

Car il allait sans dire que son plan ne fonctionnerait pas si je n’obéissais pas … Après tout, c’était entièrement ma faute si j’en étais là et je ne pouvais pas me permettre de l’entrainer avec moi. Le problème, c’est que lui comme moi, on savait que ça ne durerait pas.

Lorsque la femme que j’aime se détache de mes bras, alors que je commençais à peine à respirer de nouveau je regarde le vide, un peu comme si on privait de désert à un enfant qui n’a pourtant rien fait de mal. Je me compare souvent à un gosse tient je viens de remarquer… C’est fou ça. Pourtant je n’ai rien d’un gosse, juste allé à la limite les grimaces, mais rien de plus ! Va falloir qu’on m’explique !

Mais quand on y repense notre amour avec Willow n’a jamais vraiment été la grande joie. Cette situation connait juste un léger changement. Tous ces mystères… Ces contradictions, ces difficultés. Je l’ai surmonté pour elle, donc l’amnésie je vais elle aussi la surmonter, tenter de reconquérir son cœur, ou bien lui faire trouver le bonheur par le biais d’une autre personne si entre elle et moi il n’y a plus espoir… MAIS JE REFUSE DE ME DIRE QU’IL N’Y A PLUS ESPOIR ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Bon tout d’abord, après qu’elle m’ait demander ma solution, je la prend de nouveau dans mes bras respirant le plus lentement possible, j’ai besoin d’un contact pour m’assurer qu’elle soit bien avec moi, et aussi pour la rassurer, sa voix tremble encore… Non mais attend… Si elle s’est détachée…  C’est qu’elle ne voulait plus être dans mes bras de base c’est que ça ne la rassure pas plus que ça… MERDE ! Je me dégage vite d’elle d’un air perdue faisant style qui ne s’est rien passé en me frottant nerveusement la nuque et jette un regard sur elle.

« Ça va paraitre fou… Mais j’ai tous les éléments qu’il faut pour t’innocenter, avec un bon avocat de confiance. L’idée, ce serait que tu te livres toi-même au ministère avec l’avocat que je te trouverais, et au tribunal tu seras jugé non coupable et tu seras libre. »

Je fixe le sol et lache la grappe de ma nuque  pour faire mes yeux en forme de bille.

« Les mangemorts eux par contre je peux seulement t’en protéger du mieux que je peux. Faut dire t’es pas la seul qu’ils aimeraient tuer. Donc ça ira. »

Mais sitôt qu'Edgar lui fît promettre d'obéir, elle avait déjà envie de n'en faire qu'à sa tête. Willow serra les dents, et planta ses yeux bleus dans ceux de l'Auror qui venait de la repousser après l'avoir prise dans ses bras. Il lui en coûtait beaucoup car elle ne comprenait pas en quoi se rendre lui permettrait de l'innocenter. Elle n'avait pas le choix que de lui faire confiance ... Puisqu'elle n'avait que lui.
Stoïque, elle resta un long moment silencieuse, affichant cette expression qu'Edgar lui connaissait bien avant qu'elle ne perde la mémoire. Quand elle avait cet air là il était absolument impossible de savoir à quoi elle pensait. En réalité, elle le prenait un peu pour un fou, d'un certain côté. Mais avait-elle vraiment le choix ? S'il lui voulait du mal, il la livrerait tout de suite, non ?

Son expression changea légèrement quand elle eut fini son débat intérieur et qu'elle choisi de se ranger du côté d'Edgar en acceptant de se livrer elle-même.

"Il y a néanmoins un problème ... hormis ce que tu m'as dit, je ne me souviens absolument de rien. Je pourrais reconnaître n'importe quel fait et endosser n'importe quel crime, je n'aurais jamais le pouvoir de reconnaître ou non ma part de responsabilité dans ce qui s'est passé."

Willow devint soudain blanche et sentit la pièce tourner autour d'elle. Elle prit sa tête dans ses mains et respira profondément. Elle n'était pas sûre d'avoir envie de fouiller dans tout ça et de se confronter à ce qu'elle avait pu etre avant ...

Je vais devenir fou, je vais devenir complètement fou, barjo, pyro,  MARTEAU ! Ouais bon ok vu comme ça on dirait que je suis déjà fou. Et pour couronner le tous les autres me qualifie DEJA de fou. Mais quand je deviendrais vraiment fou ils verront… Iiiiiiiils verront…. Oui-oui ils verront… ET VA Y OUI OUI !!! OUI OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !! AVEC SON BEAU TAXIIIIIIIII POUET POUET POUET !! AAAAAAAAAAAAAAH NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON PAS OUI OUIIIIIIIIIIIIII ILS ME FAISAIENT PEUR !!! MÊME SI JE N’AI JAMAIS VUUUUUUUUUU AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!

Euh… il y avait quoi dans mon verre ? Ah oui non c’est vrais j’ai pas bu… Dans la bouffe ? Euh non pas manger… Mais pourquoi je viens de chanter cette chanson alors ? Le mangemort à frapper trop fort sur ma tête ? Non quand même pas j’ai encore toute ma tête… OUF J’AI EU PEUR !! Il y a quelque minute j’ai vraiment cru que j’étais fou.

Je souris donc du coup à la remarque de la cracmole  et regarde ailleurs pensif. Avec toutes ces embrouilles je ne pense pas que ce soit le meilleur moment pour parler de mon idée afin de la sauver. Doucement je pose ma main sur son épaule.

« C’est l’idée. Pourquoi est-ce que les mangemort t’ont enlevé la mémoire ? Pour pas que tu nous relèves le vrais coupable. »

Je finis par ma levers j’avais besoin d’air. J’ai beau aimer Willow comme pas permis j’étouffais à la voir sans souvenir, a ne pas pouvoir la prendre dans mes bras ou l’embrasser… ça commence à me rendre sérieusement malade.

« Sur ce … Il faut que tu te reposes… je vais te laisser tranquille… »

Tête basse je me dirige vers une autre pièce ouvre la porte et tourne un dernier regard sur elle.

« Reposes toi bien… Willow. »

Puis je sors fermant la porte derrière moi, et c’était PLUS FORT QUE MOI ! Fallait que je soupire et que je m’écrase au sol en frappant contre le mur. Comment ces batard de mage noir on oser faire ça à elle…